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SI DU CAIRE JE NE DEVAIS ME REMEMORER QUE DEUX SOUVENIRS

  |   AFRIQUE, ARCHITECTURE, EDIFICES RELIGIEUX, EGYPTE, HISTOIRE & DEVOIR DE MEMOIRE, MOMENTS D EVASION, MUSEE, PATRIMOINE DE L'UNESCO, TOUS   |   2 Comments

 

 
plateau de Gizeh : le Sphinx gardien des pyramides
 
 
   J’ai foulé le sol égyptien à deux reprises.
 
 
La première fois durant l’été 2008.
 
 
Avec du recul je réalise à quel point entreprendre ce voyage à cette période de l’année était une folie !
 
 
En effet,  la canicule qui sévit, au mois d’août, au pays des Pharaons  est non seulement, et à mon sens, difficile à supporter mais elle donne de facto à toutes les visites touristiques que l’on entreprend un air d’épreuve façon Koh Lanta 🙂 .
 
 
A choisir, je vous suggère donc de vous y rendre au plus tard au mois de juin ou plutôt à compter de septembre…… à moins que votre résistance à la chaleur ne soit très très élevée 🙂
 
Vous voila prévenus.
 
 
La seconde fois en décembre 2011, alors que l’atmosphère politique règnant dans le pays était tendue.
 
 
La Révolution égyptienne, débutée presqu’un an plus tôt, qui avait abouti à la chute du président Hosni Moubarak,  battait, en effet, encore son plein, au cÅ“ur du Caire, place Tahrir, devenue l’épicentre de la contestation populaire.
 
 
Mais cette fois-ci les manifestants protestaient contre le Maréchal Tantaoui, assurant l’intérim présidentiel depuis février 2011, qu’ils accusaient de trainer à organiser les élections présidentielles afin de se maintenir au pouvoir.
 
 
A chacune de ces deux échappées égyptiennes, Al Qahira, surnom du Caire signifiant « la victorieuse », a constitué une étape, la première ou la dernière, de mon périple.
 
 
Pourtant le pari n’était pas gagné d’avance car cette tentaculaire, grouillante, polluée et bruyante capitale, l’une des plus peuplées d’Afrique au demeurant, m’avait laissée un sentiment mi figue- mi raisin lorsque je l’ai découverte en 2008.
 
 
En effet, de toutes les villes du pays alors explorées, la capitale égyptienne était celle qui m’avait le moins séduite.
 
 
Mon coup de cÅ“ur allant plutôt à Alexandrie, située en bord de mer, où j’avais pu flâner, avec bonheur, toute une journée durant.
 
 
Alors pourquoi avoir choisi, même si ce n’était que pour 72 heures, d’y revenir quelques années plus tard ?
 
 
Tout simplement parce que nonobstant mes a priori, j’étais forcée de reconnaître que mon premier voyage au Caire m’avait  donnée envie de poursuivre son exploration.
 
 
Là réside toute la force du pouvoir évocateur qu’une ville peut nous laisser en terme de souvenirs. Et à ce titre j’en ai quelques uns que je vais de ce pas partager avec vous.
 
 
Ainsi, découvrir au musée Égyptien le trésor, constitué notamment du masque funéraire en or massif ainsi que des vases canopes, du pharaon Toutankhamon outre la salle des momies royales a été un instant inoubliable !
 
Tout comme  le moment où j’ai franchi les portes du Musée Gayer Anderson, cachant superbes moucharabieh, gravures ainsi que salons de style différent, lequel jouxte la mosquée d’Ibn Touloun.
 
 
Avec, en prime, l’immense bonheur de me sentir seule au monde .
 
 
Dieu bénisse les touristes lui préférant des lieux plus incontournables, selon eux :).
 
   De même, pénétrer dans quelques unes des mosquées cairotes, la ville en comptant des centaines, à l’instar de celle de la Citadelle, du Sultan Hassan ou d’Ibn Touloun, dont je vous ai d’ailleurs déjà parlé ici, s’est révélée être une émouvante expérience.
 
Mais comment ne pas évoquer également mes flâneries, en fin de journée, dans le quartier islamique ?
 
 
Celles ci m’ont menée au gigantesque et très animé souk  de Khan El Khalili où l’activité commerciale de la ville bat son plein.
 
 
Ainsi, dans ce dédale de ruelles, plus ou moins étroites, sont aussi bien proposés à la vente de l’artisanat local que des produits importés de Chine.
 
Bibelots confectionnées en os de chameaux, narguilés,  tissus, encens , tapis, boites à bijoux en nacre, parfums, vêtements mais aussi tout un florilège d’épices ( dont du safran et de la menthe séchée dont l’odeur me poursuit encore) qu’il est possible de goûter. Voila donc un bref aperçu des trésors que l’on peut trouver dans ses boutiques ainsi que ses différents étals.
 
 
Mais avant de faire quelques emplettes j’ai pu goûter aux joies de la négociation des prix.
 
 
Tout un art auquel l’on se prête volontiers tant il se déroule avec force sourire 🙂
 
 
Mes achats effectués, j’ai ensuite repris  ma promenade à travers le marché me laissant guider par mes pas.
 
C’est ainsi que j’ai pu percevoir des mélopées qui s’échappaient, ça et là, de quelques échoppes.
 
Souvent celles d’Oum Kalsoum, la Diva Égyptienne , décédée en 1975 et vénérée dans le pays depuis lors.
 
 
Je n’ai pas manqué, par ailleurs, de marquer un deuxième arrêt pour siroter un succulent  mais ô combien sucré, thé à la menthe !
 
 
Toujours songer à reprendre des forces je vous le dis !
 
 
C’est certain,  à Khan El Khalili, mes sens ont été en éveil permanent car couleurs, sons, odeurs et saveurs y sont toujours au rendez vous !
 
Que serait, en outre, une visite du Caire sans une découverte du Nil et des spectacles de danse ?
 
 
J’ai pour ma part pu combiner les deux lors d’un dîner-croisière sur le fleuve nourricier du pays.
 
 
Au programme : danses du ventre et celle des derviches tourneurs.
 
 
Il fut un temps où il était aisé d’assister aux premières dans tous les grands établissements hôteliers de la capitale ainsi que dans de légendaires cabarets situés le long de l’avenue des Pyramides.
 
 
Mais aujourd’hui, du fait d’un regain de morale religieuse, celles ci sont de plus en plus décriées voire interdites.
 
Lesdits cabarets ont presque tous fermés et seuls quelques hôtels ainsi que croisières proposent encore ce type de spectacles.
 
 
Quant aux secondes, elles m’ont tout simplement fascinée !
 
Vêtus de blanc, des derviches tourneurs, qui appartiennent à la confrérie soufie, tournent inlassablement et de plus en plus vite sur eux même, mais toujours avec beaucoup de grâce, les bras déployés : main droite tournée vers le ciel et  main gauche vers la terre, jusqu’à entrer en transe.
 
Presque à vous donner le tournis..
 
Je regrette cependant de ne pas avoir été en mesure d’assister, près de la mosquée d’El Azhar dans le quartier islamique, aux spectacles, d’une beauté époustouflante d’après ce que l’on m’a dit, qu’ils y donnent.
 
 
Mais ce n’est que partie remise 🙂
 
 
Au Caire, j’ai en outre apprécié le fait que les commerces de proximité, restaurants et boutiques ferment assez tard dans la nuit, excepté durant la période du Ramadan.
 
Last but not least,  je ne saurais refermer ma boite à souvenirs sans un mot pour  la gastronomie locale 🙂
 
Je vois d’ici votre petit sourire !
 
C’est, en effet, dans la capitale égyptienne que j’ai retrouvé le goût, le VRAI, du Fanta de mon enfance, et pas celui des canettes vendues dans les supermarchés parisiens, grâce à la marque Miranda !
 
 
Autant vous dire que j’ai du en boire des litres !!!
 
 
Au rayon culinaire je me suis surtout régalée de baba ganousch, l’équivalent du caviar d’aubergine, ainsi que de chich taouk, de délicieuses brochettes de poulet grillées!
 
 
Et, même si cela ne relève en rien de la cuisine égyptienne, je ne résiste pas à la tentation de vous recommander une superbe adresse grâce à laquelle vous pourrez faire une savoureuse  échappée gastronomique au pays des Maharadjahs.
 
 
Il s’agit du Moghul, l’excellent restaurant indien du Meena House Oberoi !
 
L’autre attrait de cet hôtel résidant, par ailleurs, dans sa situation privilégiée à quelques encablures des pyramides de Gizeh, que vous aurez la chance d’apercevoir depuis votre chambre si jamais vous décidez d’y séjourner 🙂
 
Une autre raison de se laisser tenter non ?
 
 
C’est donc sur cette charmante note que s’achève le recensement de mes plus beaux souvenirs cairotes .
 
 
Comment ? Vous criez à l’arnaque parce que le titre de mon post évoque deux lieux et voila que je vous en énumère plusieurs ? Vous avez raison !
 
 
 Je voulais juste m’assurer que vous suiviez toujours 🙂 Mais n’ayez crainte, j’en viens à présent au cÅ“ur même du sujet !
 
 
Car deux souvenirs cairotes manquent encore à l’appel.
 
Ceux des sites qui ont justement marqué, de façon indélébile, ma mémoire.
 
 
L’un deux est un incontournable qui, depuis des siècles, assure la renommée de la ville.
 
 
S’il est certes archi couru et donc envahi par des hordes de touristes (quoique peut être un peu moins depuis la Révolution qui a secoué le pays), il n’en demeure pas moins que la magie et la beauté qui s’en dégagent sont tout simplement indescriptibles.
 
 
Je n’ai d’ailleurs pas pu m’empêcher de le visiter à nouveau lors de mon deuxième séjour égyptien, c’est dire !
 
Par conséquent, ne pas s’y rendre s’apparente pour moi à un véritable crime de lèse tourisme:)
 
 
Le second site, à contrario moins assailli que le précédent, m’a transportée dans un autre univers.
 
 
Celui où l’appel des muezzins a laissé la place à une dévotion religieuse d’une autre nature dont on oublie presque l’existence dans ce pays  majoritairement de confession musulmane.
 
 
Si d’Al Quahira la belle, je ne devais garder que deux souvenirs, je choisirais sans hésiter ceux là.
 
 
Voici donc mes deux coups de cœur touristiques au Caire
 
 
FLÂNER AU CŒUR DU QUARTIER COPTE
 
 
église suspendue, quartier copte

 

   De la minorité chrétienne d’Égypte, appelée copte, le touriste n’a bien souvent que deux images qui lui viennent à l’esprit.

 

Tout d’abord celle des chiffonniers du Caire, lesquels assurent le ramassage et le tri des déchets dans la capitale égyptienne, dont SÅ“ur Emmanuelle partagea le quotidien durant des décennies.

 
 
Puis celle des nombreux attentats et persécutions dont ils sont victimes, les poussant à partir en exil à l’étranger lorsqu’ils en ont les moyens, ainsi que me l’ont confiée plusieurs guides.
 
 
Pourtant, le quartier copte, l’un des plus anciens de la capitale, situé dans le vieux Caire, regorge de superbes édifices.
 
 
Essentiellement des églises, bâties pour certaines dès le 4 ème siècle, auxquelles l’on accède en empruntant un corridor, fait de petites ruelles, où des libraires et des marchands d’antiquités se disputent la place.
 
Aujourd’hui, sur les vingtaines qui y ont été construites au fil des ans, cinq sont encore visitables.
 
Saint Georges et Saint Serge dont la crypte aurait été édifiée sur le lieu où la Sainte Famille se serait réfugiée lors de son séjour en Égypte.
 
 
Mais aussi Sainte Barbara ainsi que l’Église de la Vierge, également appelée Église Suspendue, célèbre notamment pour ses magnifiques icônes.
 
 
L’église orthodoxe du monastère Saint Georges est aussi un autre incontournable du quartier.
 
 
Non loin de l’église Sainte Barbara se trouve également la synagogue Ben Ezra,  vraisemblablement la plus vieille du Caire, dans laquelle on pénètre après êtes passés sous un détecteur de métaux, sécurité oblige.
 
 
Assurez vous ensuite de ne pas quitter le quartier sans explorer le superbe musée copte !
 
Créé au début du 20 eme siècle,  vous pourrez y admirer sculptures, frises, vêtements et tissus coptes, icônes, manuscrits, nombreux objets provenant de différents lieux de cultes chrétiens, plafonds à caissons mais aussi de magnifiques moucharabieh ( encore plus beaux que ceux du musée Anderson dont je vous parlais plus haut).

 

 

dans les ruelles menant aux églises
 

 

 

 

 

église Saint Serge

 

 

 
 

 

 

église grecque orthodoxe du monastère Saint Georges

 

 

 
 

 

 

la station de métro la plus proche pour visiter le quartier copte

 

 

 

 

le musée copte
 
 

 

 

 

 

l’Eglise Suspendue
 

 

 
 

 

 

 

 
DÉCOUVRIR LA NÉCROPOLE DU PLATEAU DE GIZEH
 
 
vue sur les pyramides depuis une chambre de l’hôtel Meena House Obéroi du Caire
 
 
 

 » Songez que du haut de ces pyramides 40 siècles vous contemplent « .

 
 
Tels sont les mots qu’aurait prononcé Napoléon Bonaparte à l’adresse de ses soldats à l’aube de la bataille des Pyramides, remportée par les troupes françaises contre les Mamelouks, le 21 juillet 1798.
 
 
Au delà de l’anecdote historique, cette citation permet d’attester, si besoin encore était, de l’ancienneté du site.
 
 
Le plateau de Gizeh, situé à environ 15 kilomètres du Caire, est donc sans conteste le lieu le plus visité de la capitale.
 
 
En effet cette nécropole royale abrite les 3, fascinantes et imposantes, pyramides,  considérées depuis des temps immémoriaux comme étant la 7 ème  merveille du monde !
 
 
Mais avant de pouvoir les admirer, vous devrez très certainement faire face aux incessantes demandes de conducteurs de calèches ainsi que de chameliers qui tenteront de vous faire monter à bord afin de vous conduire à tel ou tel autre endroit du plateau.
 
A vous de décider si vous y céderez ou non.
 
 
Mais sachez que cette alternative de transport vaut à mon sens son pesant d’or, surtout s’agissant de la calèche, si, comme moi la première fois, vous visitez Gizeh en plein mois d’août, sous 35 degrés 🙂
 
 
Rien de tel alors que de succomber au plaisir d’une ballade, fut – elle courte, à l’abri des ardents rayons de soleil.
 
 
Moi je n’ai pas su / pu résister 🙂 Fin de l’aparté.
 
 
Le cliché du Sphinx veillant religieusement sur les pyramides que sont, par ordre chronologique et de grandeur, Khéops, Khéphren et Mykérinos, est sans doute le plus connu de Gizeh.
 
 
3 pyramides, contenant chacune une chambre funéraire conçue pour être la dernière demeure du pharaon, construites par et pour 3 souverains de la même famille.
 
 
Mykérinos étant le fils de Khéphren, lui même celui de Khéops.
 
 
Chose incroyable, elles se visitent !
 
 
Mais sachez que les trois ne sont jamais ouvertes au public simultanément .
 
 
Vous aurez donc le choix entre Khéops, la plus grande, et alternativement Khéphren, celle dont le sommet est recouvert d’une pierre blanche calcaire et qui se situe dans le prolongement du Sphinx, et Mykérinos, la plus petite.
 
 
En découvrant pour la première fois Gizeh, je m’imaginais déjà en train de m’aventurer dans les entrailles de Khéops car quitte à découvrir une pyramide je préférais opter pour la plus grande !
 
 
Mais ça c’était AVANT !
 
 
Avant que le guide qui m’accompagnait lors de cette visite ne m’avertisse de sa difficulté d’accès liée notamment à ses pentes très raides 🙂
 
 
Prudence étant mère de sûreté j’ai donc rapidement renoncé à mes rêves d’Indiana Jones investissant Khéops pour jeter plutôt mon dévolu sur Khéphren  la deuxième pyramide du site.
 
 
Si pénétrer dans cette dernière puis emprunter le long couloir permettant d’atteindre, au cÅ“ur de l’édifice, la chambre funéraire où reposait le sarcophage royal a été chose aisée , je ne vous cache pas m’ y être sentie quelque peu mal à l’aise.
 
 
Sans doute avais-je, inconsciemment,  peur de me retrouver à jamais prisonnière de ces pyramides ?
 
 
Cette crainte m’a, en tout état de cause, empêchée de m’attarder plus que de raison, et donc, très vite, poussée à rejoindre la surface.
 
 
En 2011, lors de mon deuxième séjour, je n’ai pas jugé utile de retenter l’expérience, préférant embrasser du regard ces magnifiques édifices.
 
 
Oui j’assume, je suis parfois peureuse 🙂
 
 
Et vous ? Êtes vous suffisamment courageux pour explorer davantage les pyramides de l’intérieur ?
 
 
Si ce n’est pas le cas, ne vous auto-flagellez pas !
 
 
Car vous pourrez encore vous rattraper en marquant un arrêt au Musée de la Barque Solaire, situé à proximité de la grande pyramide de Khéops.
 
 
Ainsi, après avoir gentiment troqué mes sandales contre des chaussons prêtés sur place, j’ai enfin pu admirer la Star de ce musée.
 
 
Une barque construite en bois de cèdre qui, selon les historiens, transporta la dépouille du Pharaon Khéops de la ville de Memphis jusqu’à son tombeau de la pyramide éponyme de Gizeh.
 
 
Last but not least , impossible pour moi de quitter le site sans immortaliser le célèbre Sphinx, au nez cassé, creusé dans la roche.
 
 
Construite à l’époque du pharaon Khéphren, cette monumentale sculpture représenterait ce souverain sous les traits d’un félin à  tête humaine, laquelle est surmontée d’un némès, la coiffe emblématique figurant l’un des attributs des pharaons.
 
 
Pour une approche plus originale, je vous suggère d’assister en soirée au spectacle de son et lumière qui illumine le site.
 
 
Fascinante expérience que vous pourrez également renouveler à loisir dans d’autres lieux touristiques du pays à l’instar des temples de Karnak, Philae ou d’Abou Simbel.
 
 
Pour ma part et timing oblige, c’est au cÅ“ur de la Nubie que j’ai décidé de découvrir sous une nuit, pardon un jour nouveau, les temples érigés par le pharaon Ramses II.
 
 
Inutile de vous dire que j’en garde  un très beau souvenir.
 
 
Maintenant figurent  sur ma « To Discover List »  les autres pyramides égyptiennes car  contrairement à ce que l’on pense celles de Gizeh ne sont pas les premières !
 
 
En effet, a quelques dizaines de kilomètres au sud du Caire, deux autres pyramides gagnent à être explorées : la rhomboïdale de Dachour ainsi que celle à degré construite par le pharaon Djoser à Saqqarah, nécropole de la ville de Memphis.
 
Comme quoi je n’en ai pas encore fini avec le Caire !
 
 
vue sur les pyramides, au petit matin, depuis l’hôtel Meena Oberoi
 

 

nous y sommes
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
installation pour le spectacle son et lumière
le musée de la Barque Solaire
 
 

 

 
 

 

 

 

 

 

vue sur le plateau de Gizeh depuis le musée de la Barque Solaire
 
 

AUTEUR - Le Pigeon Voyageur

Et si le cœur vous en dit, vous pouvez également partager avec moi vos impressions, émotions et pourquoi pas interrogations après lecture de cet article et découverte de ces photos (toutes prises par mes soins). Alors à vos plumes !

2 Commentaires
  • Célinie | Avr 1, 2015 at 20 h 49 min

    Allez je reviens dans mon ti fauteuil mais c'était top la ballade au Caire cher JPV 😉

    • Le Pigeon Voyageur | Avr 2, 2015 at 5 h 58 min

      Ravie de l'apprendre chère Celinie !merci

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