3 INOUBLIABLES HOTELS OU DORMIR DANS LE VORARLBERG
Sky Pool, Hotel Fernblick
Vorarlberg.
Derrière ces 10 lettres se cache un enchanteur land autrichien, le plus occidental du pays, dont je vous reparlerai très bientôt.
Mais d’ici là , retenez que parmi les, encore largement méconnus, trésors pluriels que cet envoûtant territoire alpin peut s’enorgueillir de posséder figurent, notamment, 3 adresses hôtelières d’exception.
Indéniables pépites qu’il me tarde aujourd’hui de vous révéler après y avoir, cet été, pris mes quartiers.
Hotel Gastof Hirschen Schwarzenberg
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Hotel Fernblick Montafon
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Rote Wand Gourmet Hotel
Et s’il est vrai qu’elles partagent nombre de dénominateurs communs, dont la gestion familiale transgénérationnelle; un amour pour les Tables gastronomiques; le goût de l’hospitalité; l’aménagement d’un spa; une architecture en bois typique; de grandioses perspectives sur la Nature environnante; un attachement aux traditions locales outre la volonté de, malgré tout, s’ancrer dans la modernité font définitivement partie, il n’en demeure pas point que chacune d’elles témoigne d’une singularité propre.
Conférant, dès lors, un inoubliable supplément d’âme à tout séjour passé en leurs murs.
Autant de lieux de caractère, établis dans 3 des 6 régions que compte le Voralberg, qui m’ont donc laissée un souvenir particulièrement ému.
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LE FERNBLICK MONTAFON, UNE MAJESTUEUSE PARENTHESE BIEN-ETRE DANS LA REGION DU MONTAFON
Chambre Silvretta Highlight
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 Au cÅ“ur de la région transalpine du Montafon, dans la commune de Bartholomaberg dont il domine les impressionnants sommets et vallées , l’Hôtel Fernblick, inauguré en 1922 par Franz Josef et Elisabeth Zudrell et géré depuis maintenant 5 générations par la famille éponyme, offre aux hôtes une fantastique parenthèse.
Placée, à plus de 1100 mètres d’altitude, sous le signe d’incomparables plaisirs sensoriels que pupilles et papilles viennent, parmi tant d’autres choses, merveilleusement révéler.
Jouissant, du fait de son exceptionnelle situation géographique, d’irrésistibles points de vue sur les paysages alentours, ô combien préservés, constitués de massifs, prés, lacs et vallées s’étendant à perte de vue, le Fernblick Montafon se fait, ainsi, fort d’en souligner toute la beauté.
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Grâce à l’installation, au sein de ses espaces communs comme de ses alcôves, d’immenses baies vitrées,  terrasses et balcons.
Observatoires de choix, aux perspectives inégalées, que l’on investit avec bonheur.
Qu’il s’agisse :
De l’étourdissante skypool;
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des un peu plus de 80 cocons que compte l’établissement, avec un coup de cÅ“ur pour les récentes, élégantes et design alcôves appartenant à la catégorie Silvretta Highlight;
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de la terrasse panoramique sur laquelle s’ouvre le lounge-bar ou des différents espaces consacrés aux joies de la bonne chère.
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Que l’acclamé chef Florian Ganahl décline, ici, avec brio à travers un tout aussi gargantuesque que savoureux petit-déjeuner;
Un très bon lunch, rimant avec soupes, salades, gâteaux et un plat chaud , à déguster jusqu’en fin d’après-midi
Ainsi qu’un généreux diner associant au délicieux buffet de salades à composer soi-même 3 menus (Vitalité, Traditionnel et Végétarien) en 4 temps, concoctés avec soin, parmi lesquels choisir.
Aussi graphiques qu’exquises, les assiettes servies au Fernblick mettent donc brillamment à l’honneur les produits de la région .
Travaillés de manière créative afin d’offrir le meilleur d’une gastronomie locale à laquelle viennent également s’ajouter des saveurs venues d’ailleurs.
Un délice !Â
Mais l’inoubliable point fort de l’établissement, s’étant régulièrement agrandi depuis son ouverture en 1922, réside dans son gigantesque et lumineux Spa.
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Aménagé sur plus de 3000 m2, répartis sur 4 niveaux, où le bien-être se conjugue de la plus belle manière au sein d’ une pluralité d’espaces .
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Comment ne pas, en effet, se laisser tenter par sa Maison des Saunas et l’un ou l’autre des 6 saunas qui y ont été construits ?
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A commencer par le Maisass, hébergé dans une maison en bois éponyme typique de l’habitat traditionnel du Montafon, bâti dans les jardins jouxtant le spa.
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Les multiples espaces de relaxation, dévisageant les montagnes, constituent ensuite une reposante escale , propice à la contemplation, à la méditation et à la détente, pour qui souhaite s’y ressourcer.
Avant de s’octroyer quelques brasses dans l’une des 5 magnifiques piscines panoramiques chauffées.
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Et bien que la, désormais, iconique sky-pool, élevée sur pilotis, attire, avec son bassin de 20 mètres de long, assurément tous les regards,
la relax-infinity pool, alliant piscine intérieure, couloir de nage et bain à remous, fut, en ce qui me concerne, un coup de cœur immédiat.
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 Adresse de caractère où traditions, modernité, confort, hospitalité, histoire, convivialité, quiétude et destins personnels n’ont jamais cessé de s’entremêler, l’Hôtel Fernblick Montafon, première étape de mon roadtrip estival dans le Vorarlberg, est, en à peine quelques jours, parvenu à dessiner les contours de mon immersion dans cette région encore secrète:
M’offrant, ainsi, la latitude nécessaire à une reconnexion avec moi-même et me faisant, en parallèle, redécouvrir le bonheur contenu dans des journées aux programmes non définis;
Me donnant l’occasion de me repaitre encore et encore de l’air pur des montagnes;Â
Me permettant, en outre, d’appréhender une culture régionale plurielle ayant à cÅ“ur de préserver son essence tout en s’ouvrant à la modernité;
M’entourant, par le biais des hommes et femmes qui le font vivre au quotidien, d’une indescriptible gentillesse et d’une bienveillance inattendue;
Me laissant, enfin, éprouver un Art de Vivre, développé dans les moindres détails au fil du siècle écoulé, ayant sans aucun doute revêtu toutes ses lettres de noblesse au Fernblick Montafon.Â
Alors songer à quitter ses murs, même temporairement, lorsque l’on y séjourne ?
Difficile entreprise.
À laquelle il a, pourtant , bien fallu que je m’y résolve .
Tant les abords du Fernblick Montafon regorgent :
De chemins de randonnées à parcourir, de magnifiques routes panoramiques à emprunter, à commencer par celle, donnant déjà le la, serpentant depuis la ville voisine de Schruns jusqu’aux portes de l’établissement et portant bien son nom : la Panoramastrasse ( c’est à dire la route des panoramas) ;
De sites naturels ou architecturaux à découvrir, de paysages plus ou moins cachés devant lesquels s’émerveiller, de téléphériques à bord desquels monter et de spécialités du terroir à gouter .
Entre autre.
Des bonheurs simples sur lesquels je reviendrai dans un prochain article ..
Est-ce encore utile de préciser à quel point j’ai adoré mon séjour au Fernblick Montafon ?
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LE ROTE WAND GOURMET, UNE EXCEPTIONNELLE HALTE GASTRONOMIQUE DANS LA REGION DE LECH ZURS AM ARLBERG
Noix de Saint Jacques
Il faut rejoindre le pittoresque village de Zug, distant de seulement quelques kilomètres de la station de Lech am Arlberg, elle même nichée au cÅ“ur de l’Arlberg (l’une des six régions constituant le land du Vorarlberg), pour s’immerger dans l’univers de la famille Walch.
Heureuse propriétaire, depuis déjà plusieurs générations, de l’inoubliable Hôtel Rote Wand Gourmet.
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Une adresse, se dévoilant à l’ombre d’une église centenaire, dont le nom préfigure d’ores et déjà l’inouïe expérience gastronomique qui y est réservée aux hôtes.
Et ce n’est pas peu de le dire tant les moments de félicité gustative s’y succèdent au fil de la journée.
Servi à table, l’incroyable et généreux petit-déjeuner, fait maison et concocté à partir de produits locaux, donne ainsi d’emblée le ton.
Faisant rimer mille et une boissons chaudes avec large plateau de dégustation, composé de charcuteries, fromages, légumes crus issus du potager de l’hôtel, yaourt , poisson fumé, houmous ,différents pains, muesli, gâteaux, beurre,  jus de fruits, smoothies; chariot de viennoiseries; spécialités sucrée ou salée du jour outre Å“ufs à choisir à la carte.
Un véritable festival de saveurs, célébrant les traditions culinaires régionales mais convoquant également des goûts venus d’autres horizons, qui laisse gourmands et gourmets définitivement repus.
Au déjeuner et au goûter, les délicieux mets (dont l’iconique fondue) proposés à la, relativement courte, carte du restaurant (avec une mention spéciale pour les pâtes à la truffe et le filet de bÅ“uf )
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se laissent aussi bien apprécier dans le cadre d’un room-service, dans l’enceinte du vaste mais cosy restaurant lambrissé, du traditionnel Stuben,
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aux abords de la cheminée, au cœur du lounge-bar
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ou confortablement installés sur la terrasse.
Jouissant d’imprenables perspectives sur les sommets, à l’instar de l’emblématique Madloch, environnants.
Lunching with incredible views, what else ?
Et puis vient l’heure, tant attendue, du diner.
Qui signe le point de départ d’une expérience gastronomique hors norme.
Bifide pour l’essentiel.
Se déclinant, en premier lieu, à travers un menu équilibré ( de 2 à 5 temps) , à déguster, selon ses préférences, dans le stuben traditionnel, dans le restaurant accolé au lobby ou sur la terrasse, dont les mets ( avec un choix à opérer s’agissant des plats principaux) sont communiqués aux hôtes le matin même.
Des assiettes, qui à l’aune de celles du petit déjeuner, réinterprètent avec brio la gastronomie du Land tout en lui apportant des accents d’extranéité.
Mes papilles se souviennent ainsi avec bonheur des délicieuses côtes d’agneau rôties; du shortcake à l’ananas, de l’orgasmique fondant au chocolat et des savoureuses noix de saint jacques rôties.
Mais pour qui souhaite réellement prendre toute la mesure de la virtuosité culinaire dont fait montre l’établissement, rien de tel que de s’attabler à la très prisée Rote Wand Chef’s Table, qu’il convient de réserver longtemps à l’avance.
Dans cet antre, installé dans un édifice en bois du 18eme siècle jouxtant le bâtiment principal et qui autrefois tenait lieu d’école, le Chef Max Natmessnig, auquel la distinction de Chef de l’année 2022 a été décerné par le guide Gault et Millau, a pendant 5 ans ( de 2017 à 2022) joué, sur deux étages, une très millimétrée partition gastronomique.
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Alliant accords mets/vins,
S’étendant sur près de 4 heures, entre apéritifs à découvrir au rez-de-chaussée et plats à déguster au comptoir aménagé à l’étage autour de la cuisine ouverte du chef,
Et dévoilant, pour ce faire, 19 assiettes créatives .
Inspirées du patrimoine culinaire et des produits du Vorarlberg.
Une mémorable expérience, aux dires de celles et ceux qui l’ont vécue, que je n’ai, faute de place, malheureusement pas été en mesure de tester cet été .
Depuis, Max Natmessnig a pris son envol vers d’autres cieux et un nouveau chef, Julian Stieger, avec lequel il avait déjà précédemment travaillé lui a, en octobre 2022, succédé aux commandes du Chef’s Table.
Reste qu’uniquement circonscrire l’hôtel Rote Wand a son offre culinaire, aussi extraordinaire soit-elle, reviendrait à occulter d’autres pans de son identité.
A commencer par l’histoire des lieux, façonnée depuis plus de 60 ans par la famille Walch.
Et à travers laquelle transparait une volonté manifeste de faire de l’établissement un véritable home away from home où chacun prendrait ses quartiers avec bonheur.Â
D’où l’attention, notamment, portée :
A l’actuelle architecture de l’hôtel.
Constituée de la traditionnelle auberge, établie à la fin des années 50 par les époux Josef senior et Burgi Walch, ainsi que de 5 autres maisons achetées et reliées entre elles au fil des décennies par un long couloir rouge , mais repensée par Joschi et Natascha Walch, désormais propriétaires de l’établissement, en collaboration avec le cabinet Dietrich I Untertrifaller;
Au design contemporain.
Mêlant Å“uvres d’art, mobilier léché, matériaux bruts (avec une prédominance pour le bois), pièces réalisées par des artisans locaux, palette de couleurs oscillant entre blanc, rouge et beige, spectaculaire cave à vins outre multitude d’ouvrages;
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A l’aménagement, ça et là au sein des espaces communs, d’alcôves cosy où s’évader en feuilletant beaux livres de cuisine , signés des plus grand(e)s Chef(fe)s, ou ouvrages évoquant la région;
A la convivialité , à la gentillesse et au sens du service que l’équipe du Rote Wand dispense en ses murs
Ainsi qu’au bien-être de l’ensemble de ses hôtes.
Même les plus petits d’entre eux.
Comme en témoigne la grande salle de jeux, prise d’assaut par des chérubins heureux de pouvoir s’y amuser sans importuner personne,Â
contiguë à l’aussi vaste que magnifique spa.
Riche, quant à lui, d’installations diverses.
Allant de la superbe piscine intérieure à celle, outdoor, chauffée toute l’année,
en passant par les différents saunas (dont un dédié aux familles), hammam et salle de repos,Â
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où détente, ressourcement et soins sont, tout au long de la journée, toujours au rendez-vous.
Réparties entre plusieurs ailes, ayant le lobby pour point névralgique, les chambres et suites se révèlent, enfin, être de véritables cocons, au stylé épuré, rimant avec quiétude et tout confort .
Dotés, de surcroit, de balcons ou terrasses et bénéficiant, pour certains, d’une irrésistible vue sur les pics environnants, à l’instar du Rote Wand après lequel l’hôtel a  été baptisé.
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Intimistes lieux ou l’on s’abandonne volontiers après une journée passée à :
Explorer les sentiers de randonnée de Zug et Lech am Arlberg; à découvrir les hauteurs de la région grâce aux nombreux téléphériques et à contempler les quelques lacs alpins ayant assuré la renommée du Vorarlberg.
Ici, j’ai donc, encore plus qu’ailleurs, pris plaisir à ralentir le rythme et à profiter de l’instant présent .
Au point même d’en venir à occulter certaines visites arty ou touristiques, pourtant incluses dans l’avantageuse My Lech Card, qui d’ordinaire m’auraient enthousiasmées.
Privilégiant à ces dernières la salvatrice bulle de sérénité que m’offrait le Rote Wand .
Le début de la sagesse ? Time will tell 🙂
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LE GASTHOF HIRSCHEN SCHWARZENBERG, ELEGANTE ESCALE DANS UNE HISTORIQUE DEMEURE DE LA REGION DU BREGENZERWALD
Il suffit de rejoindre la place principale du bucolique village de Schwarzenberg, incontournable joyau de la région du Bregenzerwald, pour découvrir l’imposante façade en bois surmontée de bardeaux et ornée de compositions florales, si typiques de l’architecture traditionnelle de cette région, du Gasthof Hirschen Schwarzenberg.
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Qui s’y dresse en toute majesté.
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Augurant de toutes les merveilles prêtes à se révéler aux hôtes ébahis une fois le seuil de cette historique adresse, fondée peu après 1755 par Josef Anton Metzler, franchi.
Si l’auberge originelle s’est, depuis lors, agrandie pour accueillir un second bâtiment, le Walderhaus, situé à tout juste quelques pas, l’esprit des lieux, ayant présidé à l’ouverture de l’établissement, demeure.
Perpétuant, jusqu’à aujourd’hui, l’identité marquée du Gasthof Hirschen.
Où se lit l’amour pour les traditions du Vorarlberg; pour la Nature, pour l’unicité de l’ artisanat et des savoir-faire locaux, pour l’Art, pour la Gastronomie ainsi que pour la Musique.
Riche héritage que, Peter Fetz s’emploie toujours, 10 générations plus tard, à préserver.
Difficile, ainsi, de ne pas se laisser envoûter par l’irrésistible charme, résidant notamment dans l’omniprésence du bois y étant travaillé de différentes manières, dégagé par la maison .
Nimbée d’une atmosphère renvoyant à une autre époque mais s’ancrant, en parallèle, dans une modernité assumée.
Desservis par d’élégants couloirs, affichant objets d’exceptions, photographies, beaux livres et souvenirs de famille,
les traditionnels Stuben;
le superbe bar-lounge,
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le restaurant
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ainsi que la terrasse fleurie invitent , tout au long de la journée, à une savoureuse escale gustative.
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Imaginée par le chef Jonathan Burger et placée sous le double signe d’une ode au terroir local conjuguée à une créativité culinaire puisant son inspiration sous d’autres latitudes.
Entre la sélection de fromages, charcuteries, pains et pâtisseries maison proposés au buffet du petit déjeuner, les encas concoctés au déjeuner et les délices du diner, mon cœur a, en effet et pour ainsi dire , constamment balancé.
Mais l’Hirschen Schwarzenberg ne se contente pas d’uniquement régaler ses hôtes, il contribue aussi, largement, à leur bien-être.
Via plusieurs parenthèses de douceur à toucher du doigt au sein de l’intimiste spa, proposant sauna, hammam et offre de soins;
mais aussi de l’Hirschenau.
Ce jardin extérieur, aménagé de chaises longues et dévoilant fontaines outre plusieurs Å“uvres d’art, où il fait bon paresser un livre à la main.
Ou pas d’ailleurs .
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Pour finir, c’est bel et bien dans chacune des 36, singulières, clés de l’établissement, situées dans le bâtiment d’origine ou dans la récente annexe, que l’exhortation  au délassement se mesure entièrement.
Confortables à souhait , décorées avec gout, conjuguant traditions locales avec touches contemporaines , empreintes de sérénité et très spacieuses pour certaines, à l’instar des appartements cosy, elles sont d’incontestables havres de paix d’où l’on peine à s’extirper.Â
Tentation à laquelle il convient néanmoins, à plusieurs titre, de résister.Â
Pour flâner à travers les ruelles du village de Schwarzenberg dont tous les édifices sont un enchantement pour les pupilles .
Mais aussi pour sillonner, grâce à la touristique Bregenzerwald Card offerte par les hôteliers pour tout séjour estival de 3 nuits passées dans la région, le fabuleux territoire du Bregenzerwald.
Qui, enserré entre forêts, montagnes et lacs, gratifie le visiteur d’inoubliables merveilles.
Fussent elles gastronomiques, architecturales, artistiques ou tout simplement naturelles.
Magique !
Je n’aurais pas pu rêver meilleur pied-à -terre pour explorer cette superbe région.
Et vous , connaissez-vous le Vorarlberg ?Â
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