COMMENT J’AI TESTE 5 TABLES GASTRONOMIQUES, EN 48 HEURES, A LYON
Â
salle principale, restaurant gastronomique L’Auberge de l’Ile
Â
Â
L’idée d’organiser un week-end exclusivement placé sous le signe de la Gastronomie me trottait dans la tête depuis déjà plusieurs mois.
Â
Car, contrairement à d’autres thématiques qui me passionnent ( à l’instar, notamment, du Devoir de Mémoire ou de l’Art), mon amour pour le bien-manger (dont je n’ai d’ailleurs jamais fait mystère sur le blog) n’avait, jusque là , été à l’origine d’aucunes de mes échappées touristiques.
Â
C’est donc pour remédier à cet incompréhensible constat ( dans la mesure où je répète continuellement à qui veut l’entendre que la Cuisine d’un pays représente, au même titre que son Histoire, sa Musique ou sa Littérature,  une part significative de sa Culture) que je me suis enfin décidée, il y a un mois, à effectuer ce voyage.
Â
 Inédite escapade dont l’unique finalité serait le contentement de mes papilles gustatives.
Â
Exit donc les habituelles haltes muséales ainsi que  les visites de sites incontournables et découvertes, à contrario, de Tables réputées où j’étais certaine d’atteindre le nirvana culinaire.
Â
Restait cependant à déterminer où vivre cette expérience qui promettait d’être mémorable ?
Â
Le choix de la destination s’est alors imposé à moi comme une évidence : ce serait la France.Â
Â
Dois je vous rappeler que sa gastronomie (reconnue comme l’une des meilleures du monde) a, en 2010, été inscrite au patrimoine immatériel de l’Unesco ?
Â
Une véritable première !
Â
Impossible, dès lors,  que l’Hexagone ( ce  pays,  entre autre, du vin, du champagne & du cidre;  du pain & du croissant;  du camembert, du maroilles  & de l’Epoisse;  de la pancetta & de la saucisse de Morteau, des huîtres du bassin d’Arcachon & des langoustines bretonnes; de la choucroute & du bourguignon, du piment d’Espelette & du citron de Menton , du Paris Brest & des calissons d’Aix mais aussi  de chefs renommés tels Paul Bocuse, Joël Robuchon, Alain Ducasse, Anne Sophie Pic ou encore Thierry Marx)  puisse, à ce titre,  me décevoir.
Â
Oh que non.
Â
En conséquence, c’est sur Lyon ( une ville dont je suis, au fil de mes séjours, tombée amoureuse) que j’ai décidé de jeter mon dévolu.
Â
L’ancienne capitale des Gaules. Le bastion des Canuts. La cité marquée du sceau de la Résistance Française durant la seconde guerre mondiale (un statut qui a été à l’origine de ma première exploration de la ville en 2012). La cité des emblématiques murs peints.
Â
Mais surtout l’un des hauts lieux de la Cuisine Française !
Â
Quel meilleur théâtre pour débuter, en effet, ces hostilités gastronomiques que Lyon dont la réputation en matière culinaire n’est plus à démontrer ?
Â
Qualité des produits de sa région (volaille, AOP, de Bresse, Saint Marcellin, Beaujolais et charcuteries), diversité de ses spécialités (quenelles, cervelle de canut, saucisson brioché, tarte aux pralines)  ainsi qu’une multitude de bons restaurants où se régaler.
Â
Qu’il s’agisse de ses historiques cafés , de ses bouchons traditionnels, des établissements ayant appartenu à des « Mères » célèbres ou de ceux tenus par de nombreux chefs étoilés.
Â
 A commencer par l’Auberge du Pont, située à Collonges au Mont d’Or, de Paul Bocuse (« Père » étoilé de la cuisine française dont il a déjà été question dans cet article consacré à  Tokyo)
Â
Â
Â
C’est d’ailleurs en repensant au dîner que j’y ai dégusté, en 2012, que l’itinéraire de mon express (48 heures) et atypique week-end gastronomique de ce printemps 2016 s’est peu à peu dessiné.
Â
De cette épopée culinaire, j’attendais de pouvoir découvrir la richesse d’une cuisine lyonnaise parvenue, grâce au talent de ses prestigieux chefs, à allier richesse de son terroir et créativité contemporaine.
Â
Objectif atteint 🙂
 Â
Alors suivez moi, je vous emmène à la découverte des 5 (dont le choix ne fut pas aisé) restaurants qui ont fait de mon week-end de l’Ascension un moment culinaire d’ exception.
Â
A vos marques, prêts, dégustez 🙂
Â
Â
 LES TERRASSES DE LYON
RESTAURANT GASTRONOMIQUE ÉTOILÉ, VILLA FLORENTINE
Â
 vue, depuis le parking, sur la terrasse des Terrasses de Lyon
Â
Lorsque j’ai pénétré, en cet ensoleillé  jeudi de l’Ascension, dans l’enceinte de la Villa Florentine ( un bâtiment du 17 ème siècle transformé en hôtel, depuis 1984, par la famille Giorgi), située sur les hauteurs de la colline de Fourvière, j’ai tout de suite su que Les Terrasses de Lyon, son restaurant gastronomique, me séduiraient.
Â
Â
Â
Impossible, en effet, de ne pas succomber en premier lieu au cadre bucolique (rappelant certains paysages d’Italie) des lieux.
Â
Car bancs, chérubins et statues de jeunes femmes donnent aux verdoyants jardins, dans lesquels se niche cette exquise table, un véritable air de Toscane.
Â
L’enchantement se poursuit, ensuite, avec l’époustouflante vue panoramique sur le Vieux Lyon (mais pas uniquement), qui se découvre depuis le belvédère du parking.
Â
Indicible plaisir que celui d’admirer, sous une nouvelle perspective, quelques uns des monuments emblématiques de la cité (à l’instar, notamment, de la Cathédrale Saint Jean, des traboules, du Crayon ou encore de la Tour Rose) outre les toits typiques  de son quartier historique.
Â
Un magnifique paysage qui se contemplerait bien à l’infini si la faim ne finissait pas par poindre à l’horizon …
Â
Ou comment les priorités initiales finissent par se rappeler à vous 🙂
Â
L’escalier qui mène aux Terrasses de LyonÂ
Â
Â
Â
s’ouvre sur une première salle, au décor cosy, idéale pour les déjeuners ou dîners en hiver .
Â
Avec ses baies vitrées et sa terrasse panoramique ( que les clients envahissent, avec plaisir, au printemps),
 la vue sur Lyon depuis la terrasse du restaurant
Â
la seconde salle est le parfait écrin où s’installer dès le retour des beaux jours.
Â
Surtout si, comme moi, vous veillez à préciser au moment de la réservation que vous souhaitez la petite table romantique (très demandée) située au premier rang.
Â
Puis c’est dans l’assiette que se poursuit la magie des Terrasses de Lyon avec les délicieuses créations du Chef David Delsart.
Â
A découvrir à la carte mais également dans une formule express (uniquement servie au déjeuner et en semaine) à l’imbattable rapport qualité/prix et aux saveurs incomparables !Â
Â
Dire que ces dernières sont au rendez vous est un euphémisme tant je me suis littéralement délectée des délicieux amuses bouches,Â
Â
 du parmentier de joue de bœuf,
Â
du bÅ“uf de Salers grillé accompagné d’une sucrine farcie
Â
Â
ainsi que des inoubliables prédesserts,
Â
Â
 tous parfaitement exécutés et joliment présentés !
Â
Au cadre idyllique et à l’exquise cuisine, s’ajoute, enfin, un service très professionnel et aux petits soins.
Â
Autant de raisons qui font des Terrasses de Lyon une adresse d’exception que j’ai, pour ma part, eu beaucoup de mal à quitter.
Â
Â
LA BRASSERIE DES CONFLUENCES,
BRASSERIE GASTRONOMIQUE, MUSÉE DES CONFLUENCES
Â
Â
 Brasserie des Confluences
Â
Ceux parmi vous qui suivent  le Journal d’un Pigeon Voyageur sur Instagram et Facebook ont pu découvrir, fin mars 2016, quelques clichés de mon exploration du Musée des Confluences que je découvrais alors pour la première fois.
Â
Â
Un lieu qui a, à bien des égards, comblé toutes mes attentes avec son architecture ultra contemporaine en verre (rappelant le travail de l’architecte Frank Gehry)  et la richesse de ses collections permanentes.
Â
Mais pour tout vous dire, l’aspect culturel n’est pas le seul motif à m’avoir incitée à m’y rendre, il y a trois mois, pour la journée.Â
Â
En effet, je comptais mettre à profit cette brève escapade pour déjeuner, après ma visite du musée,  à la Brasserie des Confluences (le deuxième espace restauration des lieux).
Â
Mais ayant omis de vérifier, au préalable, les jours d’ouverture de cette dernière, c’est  sur place que j’ai finalement appris que le lundi (fut il de Pâques) correspondait au jour de fermeture.
Â
Dépitée sur le moment, j’ai fini par faire contre mauvaise fortune bon cÅ“ur en décidant d’intégrer cette table au parcours culinaire lyonnais que je préparais déjà .
Â
Un choix que je n’ai, six semaines plus tard, absolument pas regretté.
Â
 Située au rez de chaussée du musée précité,  la Brasserie des Confluences m’a, en effet, ravie à plus d’un titre.
Â
Â
Une architecture, subtile alliance de verre et d’ inox, faisant écho à celle du Musée.
Â
 Â
La présence de tableaux, confirmant si besoin encore était, la proximité du musée précité.
Â
Â
Et une délicieuse cuisine de saison, (hommage à la gastronomie française avec néanmoins quelques influences étrangères) à prix doux, fruit d’une collaboration entre, tenez vous bien,  2 MOF (meilleur ouvrier de France) : Jean Paul Pignol et  Guy Lassausaie (chef ayant, par ailleurs, 2 étoiles au  Guide Michelin)
Â
A ce titre, mes papilles se souviennent encore de cette étonnante mais si goûteuse polenta accompagnée, entre autre, de délicieuses gambas rôties !!
Â
Â
La Brasserie des Confluences ravira donc tous ceux qui veulent goûter, dans un cadre contemporain, à une cuisine concoctée de main de maître 🙂
Â
Une jolie manière de terminer, de surcroît,  son exploration du Musée des Confluences, vous ne trouvez pas ?
Â
Â
L’ AUBERGE DE L’ÎLE ,
RESTAURANT GASTRONOMIQUE ÉTOILÉ, ÎLE BARBE
Â
Â
Â
L’Auberge de l’Île fait à mon sens partie de ces adresses exclusives lyonnaises dont il est difficile de ne pas garder un souvenir impérissable.
Â
Son emplacement exceptionnel, dans la partie privative (habitée par quelques privilégiés) de la jolie et verdoyante île Barbe ( magnifique site situé, au milieu de la Saône, aux portes de Lyon), donne ainsi le ton.
Â
Mais avant de franchir le pont suspendu, reliant les 2 rives, qui vous y conduira,
Â
Â
je vous suggère de faire une halte quai Clemenceau et  montée Castellane, d’où vous jouirez d’un spectaculaire panorama sur toute l’île.
Â
Un moment magique !
Â
l’île Barbe, vue depuis le Quai Clemenceau et la Montée Castellane
Â
Une fois sur l’île Barbe, longez la partie publique (où terrains de pétanque cohabitent avec aires de jeux pour enfants et espaces réservés aux pique-niques ) pour rejoindre celle privative.
Â
Loin d’être chronophage, l’exploration de cette dernière, en empruntant ses deux (uniques) chemins, vous réserve quelques jolies surprises.
Â
Points de vue cachés sur la Saône,  ancienne bibliothèque construite par Charlemagne, quelques demeures bourgeoises mais surtout les vestiges de plusieurs édifices religieux parmi lesquels l’église médiévale de Notre Dame (dont le clocher est l’un des symboles de l’île) ainsi que l’une des plus importantes abbayes de la région au Moyen-Age.
Â
la partie privative de l’île Barbe en quelques clichés
Â
Â
C’est dans une demeure classée (datant du 17 eme siècle) de la partie privative de l’Ile Barbe que le chef, désormais étoilé, Jean Christophe Ansanay-Alex poursuit l’héritage familial débuté, à la fin des années 1960, par ses parents à l’Auberge de l’Île.
Â
Aux beaux jours, le voyage gustatif y débute, le temps d’un apéritif,  sur la terrasse ombragée …
Â
Â
avant de continuer dans un intérieur où tout n’est qu’élégance .Â
Â
Face aux cuisines,  depuis lesquelles se dégagent des fumets enivrants,Â
Â
se situe la salle principale où je me suis attablée.
Â
Â
Cosy et romantique à souhait.
Â
Â
Mais si vous rechercher davantage d’intimité, les salons situés à l’étage vous contenteront assurément.Â
Â
La lecture de la surprenante (je vous laisse découvrir pourquoi) carte de l’Auberge de l’ÃŽle vous plonge, ensuite et sans autre forme de procès, dans l’univers du chef qui, selon ses propres termes, « réinvente la cuisine française ».Â
Â
Formule déjeuner de la semaine, menu de saison ou menu signature : autant de plats que Jean Christophe Ansanay-Alex se fera un plaisir de vous raconter avant de prendre, lui même, votre commande.
Â
 De cette escapade gourmande, je garde un souvenir très ému des croquantes chips de légume et d’herbes aromatiques,
des délicieux amuses bouches (notamment la gougère à base de cervelle de canut),Â
Â
ainsi que de l’incontournable et exquis velouté de cèpes comme un cappuccino.
Â
Â
Une merveille !
Â
Quant à l’agneau cuit (en cocotte) au foin, accompagné de ses tomates caramélisées au miel et à la vanille, il était tout simplement à damner un saint !
Â
Â
Â
Â
Que dire, par ailleurs, de l’assiette des pré-desserts ? Exquise.
Â
Macarons, mini tartes, carrot cake et surtout délicieux cannelés qui sont parvenus à me faire oublier ceux de l’emblématique maison bordelaise Baillardran.
Â
 Â
Et parce qu’en bec sucré qui se respecte j’accorde une place importante aux desserts, je vous recommande de ne pas passer à côté (s’ils figurent toujours au menu)  du baba  à la framboise
Â
Â
 ainsi que du merveilleux dessert au chocolat !
Â
Â
Rien de tel, en effet, pour clôturer le déjeuner en beauté 🙂
Â
Enfin, pour ceux qui désireraient prolonger ce moment de grâce, sachez qu’il est possible de passer la nuit dans l’unique suite de l’Auberge de l’Île.
Â
A réserver pour des moments d’exception 🙂
Â
LES LOGES,
RESTAURANT GASTRONOMIQUE ÉTOILÉ, COUR DES LOGES
Â
Â
Â
Il était tout simplement inconcevable que mon itinéraire gastronomique lyonnais n’inclut pas un dîner aux Loges (le restaurant gastronomique de l’hôtel la Cour des Loges).
Â
Et tant pis si je le connaissais déjà pour y avoir dîné il y a quatre ans.
Â
Car au delà de l’inoubliable expérience procurée par cette table, se rendre à la Cour des Loges, cet écrin hôtelier (où tout n’est que luxe, calme et volupté) du Vieux Lyon alliant charme ancien et confort moderne,  demeure toujours un véritable enchantement !
Â
Impossible en effet de se lasser de ses vues sur la basilique Notre Dame de Fourvière,
Â
Â
de  ses jardins suspendus, de son spa,
Â
Â
de ses chambres Â
Â
ainsi que de ses espaces de restauration.
Â
Â
Pas plus que de sa décoration,
Â
de ses multiples salons,  de son architecture (en arcades ou non)
Â
Â
Â
ou encore de son bar intimiste.
Â
Â
Mais, à mon sens, le joyau de la Cour des Loges se trouve dans sa somptueuse cour intérieure, style Renaissance, surmontée d’une verrière.
Â
 Là où Les Loges ont élu domicile.
Â
Si l’on ne peut rêver cadre plus magnifique pour savourer le  gargantuesque et délicieux petit déjeuner qui y est servi,
Â
Â
Â
l’atmosphère des lieux change radicalement, à la nuit tombée, grâce à la lumière tamisée diffusée par les chandeliers posés sur chaque table.
Â
Ultra romantique !
Â
Â
Pour davantage d’intimité, je vous recommande de réserver l’une des deux tables de l’alcôve située tout au fond du restaurant.
Â
Â
Â
Vous serez alors comme « seuls au monde » tout en ayant l’exclusive possibilité d’embrasser toute la salle d’un seul et même regard 🙂
Â
Â
 Vient ensuite le temps de l’émerveillement gustatif.
Â
Faisant la part belle aux produits régionaux réinterprétés de manière contemporaine (avec des associations parfois inattendues), nul doute que la carte du chef Anthony Bonnet saura vous séduire.
Â
Si je devais, pour ma part, ne retenir que deux de ses mets d’exception, je citerai, tout d’abord,  son plat signature :  le bÅ“uf Simmental, maturé durant 90 jours, accompagné de son exceptionnelle purée.
Â
Â
Â
Puis son dessert tout chocolat, grand cru, si délicieux que je n’ai  songé à le prendre en photos  que lorsque je l’avais déjà terminé 🙂 Â
Â
On est foodie ou l’on ne l’est pasÂ
Â
 Â
LA MÈRE BRAZIERÂ
RESTAURANT GASTRONOMIQUE ÉTOILÉ
Â
Â
Indissociable de l’Histoire de la Gastronomie lyonnaise, la Mère Brazier a toujours fait partie (à l’instar de l’Auberge du Pont de Collonges dont je vous parlais en tout début d’article) de ces établissements où je rêvais de m’attabler.
Â
Â
Â
Pour son histoire, hors du commun, tout d’abord.
Â
Fondée, au début des années 20, par Eugénie Brazier, ce bouchon lyonnais devint, très rapidement, une véritable institution où les gastronomes se pressaient pour faire bonne chère.
Â
 portrait d’Eugénie Brazier aux fourneaux
Â
Il n’est dès lors pas surprenant que la « Mère Brazier » (surnom d’Eugénie Brazier) ait été la première femme à se voir décerner 3 étoiles au Guide Michelin.
Racheté en 2008 par le chef Mathieu Vianney, ce dernier a veillé à ce que le restaurant conserve son âme d’origine.
Â
Une maison, aux salles et salons (à l’étage) plus cosy les uns que les autres, où j’ai passé (grâce, entre autre, à un service d’exception)  une merveilleuse soirée.
Â
Â
Car au delà de l’accueil attentionné réservé à chaque client, la Mère Brazier fait vivre aux gastronomes, à travers une carte à la croisée des chemins entre créations contemporaines et plats plus authentiques, un moment mémorable .
Â
Ainsi, vous ne serez pas surpris d’y retrouver recettes traditionnelles emblématiques de la maison , outre d’autres s’inscrivant dans une tendance plus actuelle.
Â
Â
Â
Je salive rien qu’en repensant à  cette cote de veau et ses lasagnes de paleron à la truffeÂ
Â
ou  ce croustillant, frais, aux fruits exotiques.
Â
Â
La Maison Brazier, un restaurant qui vaut donc le détour !
Â
Ainsi s’achève cette première épopée gastronomique du Pigeon Voyageur 🙂
Â
Â
argone | Juin 7, 2016 at 12 h 38 min
quel beau parcours ! je crois que j’ai tout testé sauf la Brasserie des Confluences … j’ai eu la chance de dormir dans la suite d’hôtes de l’Auberge de l’île et je peux te dire que c’est fabuleux, ainsi que le petit-déjeuner ! 🙂
Le Pigeon Voyageur | Juin 7, 2016 at 12 h 44 min
merci pour votre retour Argone, le choix des 5 restaurants ne fut pas du tout évident tant Lyon compte d’excellentes tables !
J’imagine effectivement le bonheur ressenti lorsque l’on se réveille à l’Auberge de l’Ile 🙂
La Brasserie des Confluences est une jolie étape pour reprendre (ou pas) des forces après l’exploration du Musée des Confluences et les saveurs sont au rendez vous.
Lyon, une cité gastronomique for sure 🙂