PLEINS FEUX SUR LA REGION DE LA DEUXIEME BAIE D’ ALONG
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Grottes de Tam Coc, Région de la Baie d’Along Terrestre, Vietnam |
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Chose promise, chose due !
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Après des escales, ces trois dernières semaines en Europe ( ici,  là  et encore ici ) ainsi qu’en Afrique Australe, me voila enfin de retour en Asie du Sud Est et plus particulièrement au Vietnam.
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  A titre liminaire, je vous avais déjà livré, il y’ a presque 6 semaines (comme le temps passe vite !) et à travers 20 mots clés, mes impressions sur ce pays.
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Pourquoi en avoir choisi 20 ?
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Parce que je voulais un nombre pair ( va savoir pourquoi ?), que 10 me paraissait insuffisant pour appréhender le pays de l’Oncle Ho et qu’à contrario 30, cela commençait à faire beaucoup.
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20, le juste milieu donc.
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Vous ne vous en souvenez déjà plus ?  Ne vous inquiétez pas j’ai pensé à tout  🙂  D’un clic, vous pouvez vous replonger dans ce récit ici.
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  Outre vous rafraîchir la mémoire, cette introduction générale vous permettra de vous familiariser avec un lexique composé de termes, tels que sampan, rochers karstiques et j’en passe, que j’utiliserai plus loin dans le billet d’aujourd’hui. …
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  Il est donc temps, à présent, de vous relater, un peu plus en détail et via une série de posts, les différentes étapes de mon séjour vietnamien.
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En toute logique, vous vous attendez certainement à ce que ce premier récit ait pour cadre Hanoï,  capitale du pays,  laquelle a d’ailleurs été ma première escale.
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Eh bien que nenni 🙂
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Je suis d’humeur rebelle ces temps ci et ai donc décidé de ranger au placard, du moins pour ce billet, cet aspect structuré et logique de ma personnalité  dont j’ai tant besoin dans l’exercice quotidien de ma profession d’avocate 🙂
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  Aujourd’hui, on fait donc les choses à l’envers et on ne débute pas par le commencement.
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 Enfin pas non plus par la fin, il ne faut tout de même pas pousser le bouchon aussi loin 🙂
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  Si je vous dis Baie d’Along, signifiant littéralement et selon une légende locale la « descente du Dragon « , votre regard s’illuminera tout de suite !
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Car qui n’en a jamais entendu parlé ?
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L’une des plus belles baies du monde, des milliers d’îles et îlots situés, à environ 3 heures de route d’Hanoï,  dans le Golfe du Tonkin, des rochers karstiques, pains de sucre, qui émergent de la mer, des grottes et des villages flottants, le lieu de tournage du film Indochine.
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Bref l’image d’Épinal du Vietnam.
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D’ailleurs la beauté de ce site ne souffre pas la discussion comme en témoigne son inscription au patrimoine mondial de l’Unesco en 1994.
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Mais saviez vous qu’il existe en réalité 2 Baies d’Along au Vietnam ?
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Celle à laquelle vous pensez inévitablement et une deuxième.
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Mais si !
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Je vois d’ici vos yeux ahuris devant ce postulat et mets ma main à couper que vous n’avez sans doute jamais entendu parler de la région de la Baie d’Along Terrestre, n’est ce pas ?
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Moi, c’était mon cas jusqu’à ce que j’organise mon escapade vietnamienne 🙂
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   C’est  donc pour cela que j’ai décidé, pour mon premier billet made in Vietnam, de braquer les projecteurs sur cette région.
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Ainsi, après avoir passé 2 jours à  Hanoï, j’ai pris la direction du sud, en empruntant la route n°1, ou célèbre route Mandarine, pour me diriger vers la province de Ninh Binh.
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Située à un peu plus de deux heures de route de la capitale, cette région est également surnommée  la Baie d’Along Terrestre, en référence aux Grottes de Tam Coc qui s’y trouvent et lesquelles rappellent la Baie d’Along maritime (celle que tout le monde connait).
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Si Ninh Binh, la ville principale, n’a, à mon sens, que peu d’attraits; elle est en revanche une bonne base pour partir à la découverte de 3 sites majeurs de cette province dont je vais maintenant vous parlez.
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1, 2, 3 on embarque ?
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LES TEMPLES RECONSTRUITS DE HOA LU, LA PREMIÈRE CAPITALE DU VIETNAM INDÉPENDANT
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  Située à deux heures de route au sud d’Hanoi, Hoa Lu fut la première capitale du Vietnam indépendant, de 968 à 1009, sous deux dynasties, celle des Dinh  puis celle des Lê, avant que le cÅ“ur du pouvoir ne soit finalement transféré à Hanoi.
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Elle m’a d’abord surprise par le magnifique paysage qui l’entoure : montagnes, rizières, nature verdoyante, omniprésence de l’eau, multitude de nénuphars et de lotus ainsi que les incontournables rochers karstiques.
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  Après quelques photos (comme toujours !), je me suis enfin décidée à franchir la magnifique porte d’accès au site de l’ancienne cité.
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A vraie dire il ne reste plus grand chose des constructions de l’époque et si les visiteurs y font une halte c’est pour admirer deux temples.
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Le premier vers lequel je me suis dirigée est le temple de Dinh, consacré au père fondateur du Vietnam, qui se situe sur la gauche après avoir franchi la porte d’accès mentionnée un peu plus haut.
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Ce dernier a été érigé, aux alentours du XVII eme siècles, sur les fondations de l’ancien palais royal, disparu depuis longtemps, de la cité.
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De  part et d’autre de l’allée centrale menant au temple, que j’ai empruntée, se trouvaient plusieurs bassins envahis, en ce mois d’août, par les nénuphars.
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Piliers travaillés, couleur or et rouge, représentations de dragons, statue du souverain, sabres : j’ai retrouvé tous les éléments relatifs à l’architecture « sacrée » dont je vous parlais déjà dans mon article introductif sur le Vietnam.
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En outre, le souvenir de cette visite restera à tout jamais gravé dans ma mémoire car c’est
là que, canicule oblige, j’ai manqué m’évanouir comme je vous l’ai également déjà raconté il y’a plus d’un mois 🙂
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  Le deuxième temple, consacré au général Le Hoan, successeur du premier, que j’ai ensuite visité se situe, à quelques centaines de mètres, sur la droite en pénétrant sur le site.
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Après avoir traversé plusieurs cours, sous un soleil toujours de plomb, je suis enfin parvenue au  temple du général.
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  Construit visiblement selon les mêmes plans que celui que je venais de visiter, il paraissait en plus piteux état.
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Malgré tout, un certain charme s’en dégageait.
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Les gros tambours ainsi que les palanquins richement décorés que j’ai pu apercevoir ça et là  ont, d’ailleurs, été mon coup de cÅ“ur de la matinée, c’est dire !
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le magnifique paysage à quelques mètres de l’enceinte de l’ancienne capitale Hoa Lu |
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la porte d’entrée au site, vue de face |
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gardien efficace ? |
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porte d’entrée, de l’autre côté |
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le repaire des buffles 1 🙂 |
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in the temple |
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sabres de compétition |
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l’entrée du 1 er temple |
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paysan et son buffle entre les 2 temples |
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l’entrée du second temple |
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BICH DONG, OU LA SURPRENANTE PAGODE TROGLODYTE
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  Surnommée également Pagode de Jade, Bich Dong, refuge des deux fugitifs dans le film Indochine, a deux étonnantes particularités.
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Être construite à flanc de montagne et se subdiviser en 3 pagodes réparties sur 3 niveaux !
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Premier conseil, ne faites pas comme moi : éviter de la visiter aux heures les plus chaudes de la journée !
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  Pourquoi ?
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Tout simplement parce que pour parvenir  à la deuxième pagode puis à la troisième il vous faudra fournir quelques efforts physiques.
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Vous conviendrez avec moi que grimper sous 38 degrés n’est pas forcément ce qu’il y’a de plus agréable 🙂
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  Mais cet écueil évité , vous devriez, à priori et comme cela a été le cas pour moi, succomber au charme indescriptible de cette pagode, édifiée sur un site dont la beauté contribue pour moitié à son succès.
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Ainsi, après avoir franchi le petit pont en pierre, séparant les étals des marchandes de souvenirs de l’entrée même du site, je me suis retrouvée face à une mer de nénuphars d’où égermaient, en ce mois d’août, de grandes fleurs rose de lotus.
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Quelques canards blancs semblaient également y savourer d’agréables moments de détente.
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Sans oublier une végétation luxuriante où bananiers et bambous régnaient en maître !
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Bref c’était déjà love at first sight alors que je n’étais même pas encore au pied de la première pagode !
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canards, nénuphars, fleur de lotus, rochers juste avant l’entrée du site |
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petit pont pour accéder à l’entrée du site |
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quelques photos prises près de l’entrée du site |
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vue sur les petits étals depuis la porte d’entrée |
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en route pour la 1 ère pagode |
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 La première pagode, située au pied de la montagne et entourée d’une végétation dense, s’est dévoilée à moi progressivement.
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première pagode |
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 Pour atteindre la deuxième, nichée plus haut dans la roche, il m’a d’abord fallu longer plusieurs statues, un petit temple où trônaient encore des bâtons d’encens et enfin un gong.
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 Puis poursuivre la montée, par un escalier, qui, soit dit en passant, donne un panorama époustouflant sur la campagne environnante.
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l’encens |
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gong |
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A partir de là , c’est parti pour la montée vers la 2 ème pagode |
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jolis panoramas en montant vers la 2 ème pagode |
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 Alors qu’ épuisée par la canicule, j’étais prête à renoncer à l’idée de visiter cette deuxième pagode, j’ai aperçu cette pancarte qui m’a arrachée un éclat de rire .
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 Si je comprends et respecte la règle selon laquelle les lieux sacrés et ou de cultes doivent se visiter en étant décemment vêtus, il me paraissait difficile, surtout par cette chaleur estivale, de se conformer à l’habillement préconisé par la figure de droite.
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Franchement pourriez vous supporter le port d’une veste et d’une cravate dans de telles conditions ?
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Pas moi 🙂 Enfin…
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En levant la tête, j’ai alors aperçu, sur ma droite, une pagode en bois construite à flanc de falaise.
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La deuxième du site.
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  Pour la découvrir, je devais emprunter un petit chemin, situé sur la gauche, lequel m’a menée, à travers des galeries, jusqu’à un escalier.
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Tout en haut des marches, j’ai découvert une grotte, devenue l’habitat des chauves souris, et, un peu plus loin, un petit autel sur lequel sont installées des divinités.
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Mais mon périple n’était pas encore terminé !
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De là j’ai, en effet, dû encore gravir quelques hautes marches pour enfin atteindre, tout en haut de la falaise,  la troisième et dernière pagode.
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De la bien nommée Pagode du Ciel la vue sur les alentours, rivière et montagne, est tout simplement magique.
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De quoi vous faire oublier la difficile montée en plein cagnard 🙂
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Si je ne saurais vous dire combien de temps à durer mon extase devant ce magnifique paysage, je me souviens, en revanche, avoir du abandonner, à regrets, mon poste d’observation car l’heure de la visite dans la Baie d’Along Terrestre approchait 🙂
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l’entrée de la deuxième pagode |
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chauve souris |
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sortie de la deuxième pagode |
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Autel au niveau de la troisième pagode |
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sur le chemin de la descente. arrêt à nouveau devant l’entrée de la deuxième pagode |
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presque arrivé à la première pagode |
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fleur de lotus dans l’architecture |
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Sortie nous voila |
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Svatiska sur un des piliers de la porte d’entrée;saviez vous qu’il s’agit à l’origine d’un symbole religieux hindou ? |
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  Pourtant, la Pagode de Jade (autre nom de la Pagode Bich Dong) me réservait une dernière surprise avant que je ne quitte le site : une rencontre inattendue, juste à l’entrée, avec un garçon.Â
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Ce dernier, se tenant sur une petite embarcation, cueillait les graines des fleurs de lotus.
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  Comme vous pouvez le constater, je n’ai pas pu résister à la beauté de cette scène et ai littéralement mitraillé le jeune homme 🙂
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ma série du garçon à la barque 🙂
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  Avant de définitivement quitter le site de Bich Dong, j’ai tenu à marquer un court arrêt aux stands des vendeuses de souvenirs dont je vous parlais précédemment, reprendre quelques photos des fleurs de lotus et nénuphars, pour lesquels il semblerait que j’aie désormais développé une grande passion :), et des canards qui me semblaient d’ailleurs bien agités.
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J’avais à présent hâte de découvrir l’attraction majeure de la région : les grottes de Tam Coc, également surnommées la Baie d’Along Terrestre pour leur similitude avec la Baie d’Along, elle classée au patrimoine de l’Unesco.
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étals des vendeuses |
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canards, lotus et nénuphars.. on se croirait presque dans les jardins de Claude Monet à Giverny |
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comment se désaltérer sainement par 38 degrés 🙂 |
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NAVIGUER VERS LES GROTTES DE TAM COC A BORD D’UN SAMPAN
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  Dernière halte de ma découverte de la région de Ninh Binh, la Baie d’Along Terrestre a su tenir toutes ses promesses.
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Arrivée à l’embarcadère de Van Lam en fin d’après midi, pour éviter le flot de touristes, j’ai pu embarquer à bord d’un sampan immatriculé dont vous verrez la photographie un peu plus loin.
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A mon plus grand étonnement, le conducteur, habitant du village, ramait avec ..les pieds, tradition régionale oblige.
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C’était donc parti pour une promenade de deux heures, depuis l’embarcadère jusqu’à la troisième grotte, sur la rivière Ngo Dong laquelle serpente au milieu de paysages magnifiques.
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A moi pitons calcaires, aux formes surprenantes recouverts de végétation, surgissant de la rivière,  falaises abruptes se reflétant dans l’eau, rizières, bassins d’élevage de canards ainsi que vision de pêcheurs au travail.
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Plus surprenant encore : petite chèvre gambadant, encore, sur la berge en attendant de finir en brochette, spécialité culinaire du coin, dans l’un des nombreux restaurants devant lesquels j’étais passée en me rendant à  pied à l’embarcadère.
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Dur dur d’être une chèvre dans la province de Ninh Binh 🙂
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J’ai, enfin, été étonnée de voir l’architecture, surprenante, de certaines tombes du cimetière près duquel je suis passée en sampan lors de cette promenade en direction des grottes.
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Contrairement à ce que je m’imaginais, la circulation sur la rivière Ngo Dong est très active.
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J’ai ainsi pu apercevoir de nombreux villageois, hommes et femmes, ramant à bord de leur sampan, seul moyen de locomotion possible, pour aller vendre leur production sur la terre ferme.
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Bien évidemment, j’ai aussi rencontré quelques touristes qui, au moment où je partais à la découverte des grottes de Tam Coc, rentraient de la même expédition.
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Ces derniers constituent une large part du contingent de visiteurs et contribuent, de facto, à l’économie locale.
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Dans leur sillage se sont donc développées des activités marchandes.
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Je n’ai donc pas pu échapper aux nombreuses sollicitations de différents vendeurs.
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Ainsi dès les premières minutes à bord du sampan, j’ai été accostée par un photographe qui se proposait de prendre quelques clichés de moi que je pourrais acheter à mon retour à l’embarcadère.
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Puis durant toute la promenade, des femmes, dont les barques regorgeaient de biscuits, boissons fraîches et de nappes brodées, m’ont interpellée pour me proposer leurs marchandises.
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Certaines de façon très amicale, d’autres de manière plus insistante mais sans jamais être agressive.
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Enfin, clou du spectacle : la traversée des 3 grottes de Tam Coc (Tam Coc signifiant d’ailleurs 3 grottes), creusées dans les pains de sucre.
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Ces dernières ont notamment servi d’abri aux VietCong pendant la guerre civile vietnamienne.
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Même si j’avais déjà été émerveillée en pénétrant en barque, quelques années plus tôt, dans la Grotte Bleue de Capri, j’ai ressenti une émotion encore plus forte en traversant Hang Ca, Hang Hai et Hang Ba, celles de la Baie d’Along Terrestre.
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La superbe escapade jusqu’aux grottes de Tam Coc a donc été une magnifique manière d’achever ma découverte de la région de Ninh Binh et d’anticiper celle que j’allais faire, dès le lendemain, de la Baie d’Along « maritime ».
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Mais je vous reparle de tout cela très vite 🙂
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En attendant, et pour terminer ce billet, découvrez en images le site de Tam Coc !
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l’embarcadère |
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parking de sampans à l’embarcadère |
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le riviere Ngo Dong et les rochers karstiques |
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le sampan, et son rameur, à bord duquel je suis montée |
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c’est parti ! |
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programme shampoing sur les berges |
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A bord du sampan. avez vous remarqué l’appareil photo rouge du JPV ? Un des deux numériques que j’utilise en voyage |
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rameuse et touristes rentrant de leur promenade |
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la flore de la rivière |
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le photographe du site avant la photo |
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le photographe après la photo |
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les chèvres de Mr Seguin 🙂 |
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chargement de barque |
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élevage de canards |
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une tombe du cimetière |
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tout en haut de la falaise |
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grotte en vue ! |
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stalactite et rameur |
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A Tam Coc on rame avec les pieds ! |
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les vendeuses |
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petit café |
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toujours veiller à baisser la tête |
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sur le trajet retour, autres tombes du cimetière |
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ça y est le jour se couche |
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les rames du sampan |
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enfants se baignant en fin de journée à l’embarcadère |
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Messi, Ronaldo, Drogba en devenir :). Devant l’embarcadère pour les grottes de Tam Coc |
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Célinie | Oct 28, 2014 at 12 h 50 min
Moments d'évasion donc ,c'est à regret que je réintègre mon siège devant mon ordi, avec des nénuphars pleins la tête et un peu de chaleur en cette froide journée de novembre 🙂
Le Pigeon Voyageur | Oct 28, 2014 at 13 h 23 min
Chère Célinie, des nénuphars sont encore au programme pour les prochaines échappées vietnamiennes 🙂
Plus sérieusement, je suis contente que le JPV t'apporte ce brin de soleil qui nous fait actuellement défaut à Paris car son crédo est , encore et toujours, de faire voyager ses lecteurs sans avoir à prendre l'avion 🙂
Merci !